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En 1972, Stephen King, professeur de littérature à l’Université du Maine, jette quelques feuillets à la corbeille. Entre 2 poèmes et un début de roman pornographique, il avait commis un texte dont il était mécontent : l’histoire abracadabrante d’une jeune fille disgracieuse usant de pouvoirs télékinétiques pour tuer.
Mais c’était sans compter la perspicacité de Tabitha, l’épouse du professeur.
A 1 voyelle près, celle-ci porte le nom de Ma Sorcière bien-aimée ( Tabatha ). Un peu sorcière, elle devait l’être pour pressentir que ce synopsis allait donner un roman à succès puis un film haletant et réalisé par Brian De Palma, Carrie, avec Sissi Spacek et John Travolta. Un triomphe.
Le succès à ses pieds, Stephen King ne cessera d’exploiter la même veine (sanguinolente). La machine King se met en marche. Acharné du travail, l’auteur ne s’accorde que 3 jours de vacances par an. Et ne cesse de produire des horreurs, presque toujours adaptées au cinéma :
Les vampires de Salem deviendra un film de Larry Cohen en 1979, Shining sera adapté par Stanley Kubrick en 1980, Dead Zone insirera David Cronenberg en 1983…
La machine King ?
Elle se divise en 3 paliers. D’abord la terreur. Elle est simplement suggérée, c’est toujours payant. Ensuite l’horreur. On découvre « de visu » ce qu’on croyait ne pouvoir imaginer. Enfin, vient le stade insoutenable de la répulsion pure. Douches sanguinolentes, assassinats sauvages…
Les lecteurs de King en redemandent : ils sont 40 millions dans le monde, tandis que l’auteur empoche régulièrement 3 millions de dollars par titre.
A maintenant 65 ans, celui qui, adolescent, gagnait son argent de poche en travaillant dans une laverie automatique, obtient une belle revanche sur sa destinée. Richissime, il peut enfin dorloter ses 3 enfants, sa sorcière bien-aimée, ainsi que sa courageuse maman. Celle-ci l’a élevé seule, après le départ soudain de son époux, selon un scénario de roman de gare : parti acheter des cigarettes au bar-tabac du coin, il n’est jamais rentré. Le petit Stephen avait 2 ans.
Outre ses pavés imposants, Stephen King a aussi publié des recueils de nouvelles.
Le roi de la peur et des nuits blanches a une oeuvre importante derrière lui.
Chez Albin Michel, on trouve ses classiques : Cujo, Charlie, Running Man, Ca en 2 volumes.
Chez Lattès, L’Accident, Salem, Le Fléau…
En édition de Poche « J’ai Lu » a l’exclusivité de Stephen King dans sa collection L’Epouvante, avec + d’une 20taine de volumes parus.
5 Comments
Belle journée et bonne lecture… Bises
C’est un auteur quej’aime bien et qui ne m’a jamais déçue… j’ai plusieurs de ses livres dans ma biblio perso.
Bonjour Cassandre
ah là je suis fan 100% j’ai presque lu tous ses romans sauf les derniers, sont toujours dans ma bibliothèque
j’adore j’adore j’adore plus trop le temps de lire hélas :o((
oh Cassandre a chacun sa manière de trouver de l’optimisme tu sais..il le faut bon j’ai la faculté de très vite chasser le moche de l’homme de mon esprit d’ailleurs sans ça je ne pourrais plus faire les adoptions, ça me poursuivrait trop, dès que j’ai une triste ou pénible pensée dans le cerveau up d’un coup je la chasse
bon week-end Cassandre
bisous et au poupouss xxxx
ce n’est pas trop ma tasse de thé, ce genre de lecture et de film…..mais il en faut pour tous les goûts et bravo à madame d’avoir fouiller dans la corbeille à papier et d’avoir su en tirer profit…passe un excellent samedi
bonsoir ma belle … j’ai lu quelques uns des romans de mr King … Cassie, Michèle, Cujo, les le fléau …. et puis un jour, je me suis lassée de ces romans fleuve glauques et basés sur la peur …
J’ignorais que King eut jamais écrit des romans pornographiques …. glauques aussi ?? hihihihihihi
bisous et bon dimanche