Qui d’entre nous n’a jamais commis un petit excès de gourmandise ou n’a pas entamé un régime ultra restrictif juste avant l’été ?
Pratiquement tout le monde s’est, un jour ou l’autre, posé des questions concernant son poids et a envisagé de suivre un régime.
Les jeunes filles et les femmes ne sont plus les seules à succomber à la recherche effrénée de l’idéal minceur.
Les hommes se soucient aussi de + en + de leurs formes.
La maladie n’apparaît que sous une forme mineure ou débutante.
Parfois, ce souci devient une véritable obsession et donne lieu à de graves troubles alimentaires.
Des affections dangereuses :
Les + menaçants pour la santé sont l’anorexie et la boulimie.
Les troubles de l’alimentation que sont l’anorexie nerveuse et la boulimie nerveuse sont beaucoup + fréquents chez la femme (95%) que chez l’homme (5%).
En général, la maladie débute à la puberté ou au début de l’âge adulte.
Ces 2 troubles alimentaires n’ont rien d’exceptionnel.
En effet, entre 15 et 25 ans, 1 femme sur 250 souffrirait d’anorexie nerveuse et ce chiffre pourrait atteindre 1 sur 20 en ce qui concerne la boulimie nerveuse.
On estime que 9 à 10% des femmes adultes souffrent de problèmes alimentaires avec une difficulté à contrôler la prise de nourriture et une attention exagérée au poids.
Il s’agit de 2 affections psychiques graves :
L’anorexie peut entraîner un retard de croissance et, + tard, des problèmes d’ostéoporose et de stérilité.
20 ans après le début de la maladie, 15% des patients décèdent, en général, de sous-alimentation ou par suicide.
Ces 2 troubles alimentaires ont également des conséquences négatives autres que physiques :
– Les patients sont soumis à un stress énorme parce qu’ils veulent à tout prix garder leur maladie secrète ;
– Cela se traduit par des changements d’humeur et un isolement social ;
-L’estime de soi se voit fortement influencée par le poids et la forme corporelle ;
-Le fait d’être souvent victime de remarques sur son poids ou sa silhouette ;
– Souvent, le manque d’estime de soi, la perte de la confiance en soi et un sentiment de détresse engendrent un état dépressif ;
– Les patients sont irritables, pessimistes et souffrent de troubles de la concentration ;
– Ils sont tourmentés par des sentiments de culpabilité et de honte.
S’ensuit une période de honte et de culpabilité qui plonge la victime dans une grande solitude.
Habituellement, la personne qui souffre de boulimie est suivie en ambulatoire et ne doit pas être hospitalisée, ce qui est parfois le cas des personnes souffrant d’anorexie.
Associations parentales, médecins et psychologues sont disponibles pour fournir le soutien et l’accompagnement nécessaires.
4 Comments
il ne faut pas commencer à faire un régime seul à voir si on est dans la norme ou trop gros il faut voir un médecin compétent dans la matière qui saura nous guider
Bonsoir Cassandre
jamais je n’ai fait de régime de ma vie, ni anorexique ni boulimique 🙂
je mange peu c’est tout 🙂
mais c’est terrible d’en souffrir tant l’un que l’autre…il faut du courage pour en guérir
bon WE Casandre
bisous et a Nanou **
Bonjour ma petite Cassandre, mon petit passage pour venir te dire bonjour, ce matin, c’est toujours avec du brouillard que je viens jusqu’à toi, si c’est comme hier, on ne va pas voir le soleil, c’est pas bon pour le moral ! Je ne fait plus de régime, je suis comme je suis et tant pis !
J’espère que ton lundi se passera bien et que tu vas bien, chez moi ça va Phil est rentré hier soir trempé de chez trempé de Francorchamps, je t’envoie une barque de gros bisous tous doux ♥
bonsoir Cassandre …. je n’ai jamais été boulimique, non plus qu’anorexique mais j’avoue que je fais continuellement des régimes parfois trop draconiens … mon poids fait le yoyo mais de 3 kgs au maximum et ma foi, tant que je porte toujours du 38, je m’autorise des gourmandises de temps en temps !! lol mdr
bisous et bon mardi