On veut le vamper, le séduire, bref, le rendre fou de soi !
Mais un peu émoustillée ou inhibée après des années de célibat,
le trac a fait des siennes….
A moins d’être une stratège patentée et diaboliquement narcissique, il est impossible de tout contrôler
lorsque les prémisses d’une histoire d’amour sont en jeu.
Pour compenser son trouble et le masquer, l’une jouera la « Domina », l’autre la porcelaine de Saxe,
selon l’idée que chacune se fait des rituels d’une attraction fatale.
De cette façon, on peut également se ridiculiser lamentablement !
Alors comment redonner envie à un homme que l’on convoite, d’accorder une seconde chance ?
Voici 2 erreurs que l’on peut commettre en pareille occasion :
La femme éblouissante, la tenue et les poses tiennent de la performance !
On y trouve toutes les combinaisons gagnantes des fantasmes masculins des sondages
des magazines masculins.
Attention : dangereux de proposer + qu’on ne peut assumer !
C’est souvent le cas des femmes qui doivent « assurer » dans tous les domaines, masquer leurs faiblesses, impressionner.
Elles arrivent dans des robes ultramoulantes, chipotent dans les plats, paient l’addition sans discussion possible..bombardent l’homme de questions…sans jamais attendre la fin de ses réponses !
Elles veulent le bluffer, sans tenir compte ni de lui, ni d’elles-mêmes.
De nombreuses femmes brouillent les pistes à leurs dépens.
Elles jouent au « boss ».
Du coup, elles rendent impossible la spontanéité indispensable qui doit s’instaurer entre 2 personnes
qui veulent mieux se connaître et ne parviennent pas à se montrer sous leur meilleur jour.
Elles oublient de laisser de la place à l’autre.
Par peur de l’engagement, elles se positionnent très maladroitement dans un rapport de force avec l’homme ;
le « meilleur » moyen pour qu’il se sente dévirilisé….
Solution :
On peut envoyer un mot ou un mail à cet homme dérouté ( au mieux ! ) par le numéro ,
le remercier en étant sobre et lucide :
en reconnaissant avoir joué un personnage qui ne ressemble pas à la femme que l’on est.
Et avoir l’honnêteté d’avouer qu’on regrette ce comportement provoqué par un manque de confiance en soi.
On montre ainsi qu’on n’essaie plus de le dominer.
En parlant vrai, on a encore une petite chance de le toucher et de le récupérer.
Un enjeu important ?
Voilà certaines femmes au garde-à-vous : adieu l’humour et la fantaisie, bonjour le bonnet de nuit.
Elles sont tellement occupées à faire bonne impression que ça paralyse.
La jouer « bonne à marier » et favorable à la paix des mariages :
prendre le même menu que lui et opiner du chef tandis qu’on le laisse parler.
Citer plusieurs x sa mère comme référence !
Parler météo et patrimoine familial; ne pas oser être drôle et vive ; s’ennuyer de sa prestation
et se retenir de bâiller.
Etre inhibée empêche de se libérer de son passé et de ses habitudes.
Avec ces femmes, les hommes s’imaginent illico dans la routine d’une vie de couple et dans l’ennui.
Celles qui agissent de la sorte ont peur de sortir de l’enfance et n’arrivent pas à montrer qui elles sont.
Il faudrait qu’elles développent une estime d’elles-mêmes et s’émancipent de leur famille et de ses valeurs.
Solution :
Avant de revoir l’élu, s’il est d’accord, on doit s’efforcer de se rappeler les discussions quotidiennes
que l’on a eues avec ses amis, ses collègues..et continuer sur cette lancée !
C’est l’occasion de s’apercevoir que parler de tout et de rien, être spontanée, n’a rien de dangereux !
Et, au prochain rendez-vous, les femmes trop « lisses » devront jouer sur des codes de leur génération
et oublier leur mère ( et le « savoir-vivre » qu’elle leur a inculqué ).
5 Comments
Rien n’empêche tant d’être naturel que l’envie de le paraître.
La Rochefoucauld
Rien ne lui était plus agréable chez sa fiancée que la volonté de porter à la dernière limite ce principe fondamental de leur éducation à tous les deux : l’obligation rituelle d’ignorer ce qui est déplaisant.
Edith Wharton
oh voilà un assimil de comment y faire ☺☺
bon dim Cassandre bisous et au tit Pirate ♥♥
Bonjour Cassandre, d’emblée, je te remercie beaucoup pour ton commentaire au sujet de mon nouveau CD , merci d’avoir écouté deux extraits de mon précédent disque de 2015 dont « Peur de l’autre » qui a fait réagir lorsque je l’ai chanté devant un public plusieurs fois . Concernant ton présent billet , on tous tant besoin d’amour comme tu me l’écris avec justesse et je crois que pour éviter les loupés amoureux , il faut savoir garder son naturel , il y a toujours un dominant et un dominé comme tu l’écris mais tout cela doit rester dans le domaine fermé du jeu amoureux . Pour la commande du disque, un billet de 10 euros glissé dans l’enveloppe ce sera parfait . Bon lundi et Merci !
Merci pour ce qu’il faut faire et surtout ne pas faire! Et la photo de l’homme (très viril) soulevant la femme dont les jambes nous révèlent une joie emprunte de sensualité… est bien plaisante. Ce qui est sûr c’est qu’il est difficile de dissimuler le désir qu’on a de l’autre, d’autant plus vif qu’il est réciproque et alors là ((( permettez de te dire qu’on a besoin d’aucun conseil… Impossible de se refréner sauf si … si l’entourage ne le permet pas… par exemple ôôôôpardon!!! quand l’épouse du monsieur est là, à nous regarder et à sentir avec effroi le désir réciproque qui paraît devant elle. Bonne journée et merci, Gisèle
bonjour
je crois qu’une confiance est primordial, l’amour évidemment et le reste vient après..
Bisous et contente de te retrouver