L’importance de boire beaucoup d’eau
De mauvaises postures : tenir la tête penchée en écrivant, un bureau trop bas, la position figée devant l’ordinateur de longues heures durant, dormir sur un coussin inadéquat….., peuvent contribuer à produire des douleurs dans le cou ou même à y déplacer des disques intervertébraux.
Le mouvement est essentiel à une circulation correcte dans les espaces interdiscaires du cou.
Le poids de la tête force l’eau à sortir du disque pour un certain laps de temps.
Pour la ramener, un vide « aspirant » doit être créé dans le même disque intervertbral.
Cela ne peut se faire que lorsque l’on bouge correctement le cou.
Un exercice correctif très simple peut remédier à ce mal : on se couche sur le bord extrême du lit, la tête penchée en arrière et laissée à l’abandon.
Cette posture permet d’étirer le cou en se servant du poids de la tête qu’il n’a plus maintenant.
Quelques instants totalement détendu dans cette position suffiront à diminuer la tension de son cou.
C’est une posture idéale pour générer le vide « aspirant » dont les espaces interdiscaux ont besoin.
En amenant ensuite doucement la tête jusqu’à la position arrière maximale, de manière à voir le sol, puis en la redressant pour voir ses pieds, un vide intermittent se crée, aspirant de l’eau dans les espaces interdiscaux et la répandant entre chaque paire de vertèbres du cou.
Le noyau du disque a besoin d’absorber cette eau jusqu’à ce qu’il regagne sa taille normale.
A présent, plier la tête de gauche à droite et vice-versa; essayer de regarder le mur et le sol de la pièce, d’abord d’un côté, puis de l’autre.
Ce simple exercice est utile aux personnes qui commencent à souffrir d’arthrite ou d’un déplacement discal dans le cou ; il permet de tester la mobilité de leurs articulations.
Un autre exercice, praticable en cas de douleurs moins graves dans le cou ,suite à un déplacement discal, consiste à plier lentement et de manière répétée la tête et le cou en arrière autant que faire se peut.
Les maux de tête migraineux semblent être une conséquence logique de la déshydratation :
– une couverture trop épaisse qui empêchera le corps de régler sa température pendant le sommeil,
– des boissons alcoolisées qui produisent une déshydratation cellulaire, en particulier dans le cerveau,
– un régime alimentaire ou une allergie provoquant une libération d’histamine,
– une chaleur excessive non compensée par une ingestion d’eau appropriée.
Fondamentalement, la migraine semble être un indicateur de défaut de régulation de la température organique lors d’un stress dû à la chaleur.
La déshydratation joue un rôle primordial dans l’irruption de cette affection.
La manière la + prudente et préventive pour combattre la migraine est l’apport correct de liquides.
Mais 1x que la migraine s’est installée, des réactions chimiques en chaîne empêchent le corps de poursuivre nombre d’activités vitales.
A ce stade, on peut se voir contraint d’absorber des analgésiques accompagnés de beaucoup d’eau.
Une quantité suffisante d’eau froide ou glacée contribue à refroidir le corps ( ainsi que le cerveau ) de l’intérieur et à inciter le système vasculaire à se resserrer.
La dilatation excessive des vaisseaux périphériques pourrait bien être la cause principale de la migraine.